Nous le constatons tout les jours, la planète et de plus en plus abîmer par l’homme. La question n’est plus de savoir SI la planète prend le chemin de la débâcle écologique mais QUAND la catastrophe finira.
La pollution est telle que nous ne posons plus la question de la possibilité de la perte planète, dans le sens ou elle ne serait plus habitable, mais de ça temporalité.
Concernés par ce problème, qui représente un coût économique substantiel pour la société, des entrepreneurs de la nouvelle génération ont réuni leurs talents pour développer des solutions concrètes et innovantes. Nous représentons une alternative crédible aux démagogues et passéistes apôtres de la décroissance qui voudraient revenir à l’âge de la bougie.
Nous pensons que pour sauver notre planète, il est déjà trop tard. Nous avons des projets beaucoup plus ambitieux pour l’humanité que de tenter de remettre sur pieds un environnement qui a déjà donné tous ses fruits. De surcroît, nous affirmons – contrairement aux idées reçues sur la question – que nous devons hâter la destruction de notre Terre. En effet, l’histoire nous enseigne que l’homme est capable de réaliser des bonds technologiques inattendus en situation de crise. Nous avons donc pour objectif de réaliser ces conditions catastrophiques pour que l’humain puisse donner le meilleur de lui même et de sa science.
Dans cette optique, nous considérons que nos moyens sont aussi l’une de nos fins : ainsi, si le progrès pour le progrès ne doit pas être encouragé ; la construction de fusées à moteur hyper-polluants usant de carburants inventifs toujours plus gourmands en matières premières, de plates-formes spatiales aux possibilités d’accueil infinies apparaissent aujourd’hui comme une priorité. La recherche technologique n’est qu’un moyen au service du progrès de l’humanité – aussi, la destruction des ressources énergétiques qu’elle engendre fait partie d’un processus progressif indispensable à la préparation de la population au Grand Départ. De la relance du programme spatial dépend notre avenir. C’est pourquoi la mise en concurrence aussi bien des États que des entreprises dans ce projet doit être encouragé. Non seulement la bonne marche de l’économie mais également la croissance sont essentielles si l’on ne veut pas voir ce beau projet péricliter.
« Détruisons des deux mains le monde d’aujourd’hui ! »